En 2014, face aux débordements parfois violents qui avaient agité le cœur des nuits liégeoise (j’ai nommé Le Carré), le conseil communal de la Ville avait adopté une Charte pour la qualité de la Vie Nocturne dans le Carré, le tout marqué d’un fort bon slogan : « Pour un Carré qui tourne rond« , avec une labellisation des commerçants qui s’engagent à respecter les consignes communales en la matière. Côté wallonica, on a fait encore plus fort (comme toujours) :
la charte wallonica est publiée depuis longtemps. Rédigée en 7 points, elle préside à notre travail au quotidien ; vous la retrouverez dans nos FAQ > 02-Notre engagement ? > Notre Charte ;
côté label, la marque wallonica a été déposée (on ne sait jamais) et
Il ne nous restait plus qu’à former le dernier carré pour mieux servir. C’est chose faite… en mieux. Nous bouclons la boucle en publiant désormais sept sites, comme un arc-en-ciel de savoirs. Ils sont distincts techniquement (sous-domaines) mais reliés entre eux par une véritable forêt d’hyperliens. En cliquant curieux sur un de nos boutons de couleur, vous pourrez ouvrir et découvrir le bouquet des sites wallonica…
wallonica.org est notre blog encyclo, la Mère de toutes les mères, la raison d’être de notre travail : une anthologie qui compile les savoirs de Wallonie et de Bruxelles et les intègre dans des contenus internationaux issus de toute la Francophonie. Au pied de chaque article, une liste de liens vous est proposée vers 11 sujets wallons de la même catégorie : comment mieux promouvoir nos savoirs qu’en les reliant à ceux qui vous ont attirés de prime abord ? Au-delà des articles documentaires dont les derniers parus sont communiqués via notre infolettre hebdomadaire (abonnez-vous !), différents services y sont proposés, regroupés dans un kiosque : un agenda culturel, un répertoire des initiatives, un index des magazines et des blogs qui font notre bonheur en ligne, une revue de presse internationale et une tribune libre bien sentie. Aucune publicité ne vient gêner votre lecture, dont la durée vous est annoncée en tête d’article.
Vous êtes fidèle au blog encyclo wallonica.org et, chaque semaine, vous attendez avec impatience l’infolettre des derniers parus. Reste qu’une question vous taraude encore : comment constituer ma bibliothèque d’Honnête Homme/Femme, et lire curieux ? Nous, on vous comprend, alors vous trouverez ici des ouvrages qui nous semblent incontournables, fondateurs ou susceptibles de provoquer un débat constructif. Vous lirez leur 4ème de couverture mais également des coupures de presse et, lorsque nous avons écrit sur l’ouvrage, notre recension. Le cas échéant, nous partageons aussi avec vous quelques bonnes feuilles. Un article = un livre et, au pied de chacun desdits articles, 11 propositions de titres de la même catégorie, originaires de Wallonie ou de Bruxelles.
boutique.wallonica.org est aussi un avatar de wallonica. C’est un site faussement ‘commercial’, consacré à la promotion de produits et services liés aux savoirs, à la culture et à la citoyenneté. Chacun des artistes, créateurs ou porteurs d’initiatives qui y propose des articles à la vente (neufs ou en seconde-main) est bien entendu documenté dans wallonica.org. Le bouton d’action [Acheter] ne nous permet pas de vendre, néanmoins : il vous relie directement à l’artiste-vendeur ou à notre plateforme-partenaire qui fédère les librairies indépendantes de Wallonie-Bruxelles. Comme l’excellente Pascale Seys pourrait le dire : « Et vous, quand vendez-vous ?«
documenta.wallonica.org en est le centre de ressources, consacré à nos ressources documentaires téléchargeables (fichiers texte, images, multimédia…). Chaque fiche de la documenta est reliée à des contenus de l’encyclopédie. Nous commençons tout doucement à l’étoffer, au fil des fonds documentaires que nous confient des membres de notre réseau : qu’il s’agisse de revues de qualité (ou bizarres) aujourd’hui disparues ou de brochures truffées de savoirs qui ont duré ce que durent les roses, d’ouvrages épuisés ou de campagnes promotionnelles dignes de mémoire, de fanzines historiques ou de cartes postales anciennes, vous y trouverez votre bonheur, nous n’en doutons pas…
poetica.wallonica.org est le portail de la poésie de wallonica.org. Il est spécifiquement consacré aux textes des poètes, hommes et femmes, issus de Wallonie-Bruxelles, ainsi qu’à leurs recueils ; aux traductions de poèmes effectuées en Wallonie-Bruxelles ; aux sites et initiatives qui offrent de la visibilité à la création poétique dans notre Région ; aux événements centrés sur ce thème et aux autres incontournables de la poésie francophone ou traduite que nous ne pouvions vous cacher. Tout ça, rien que pour vous ! Alors, si vous voulez lire un poème à voix haute, découvrir une image (verbale) qui ouvre une fenêtre sur le monde, lire la musique des mots, reconnaître la voix d’une femme d’ici ou d’un homme de là bas qui a su formaliser l’indicible : cliquez ci-dessus…
Trouver, éditer et partager des contenus de manière structurée : ce n’est pas un sport, c’est un engagement. Lutter contre l’obscurantisme en attirant l’attention des internautes francophones de Belgique (et d’ailleurs) sur des sujets qui prêtent à réfléchir et à débattre, à s’amuser ou à se laisser surprendre, c’est un vrai combat qui ne se mène pas seul. Alors, pourquoi pas vous ? Nous partageons dans technica.wallonica.org les bonnes pratiques qui sont les nôtres : servez-vous et… cliquons ensemble !
topoguide.wallonica.org (en collaboration avec la CHiCC) est un registre raisonné des rues, des chemins, des lieux-dits, des rivières, des ruisseaux et autres curiosités touristiques de la Wallonie et de Bruxelles ; faut-il vous préciser que les différentes entrées du topoguide sont également truffées d’hyperliens vers le blog encyclo ? Les acteurs culturels ou les porteurs d’initiatives d’intérêt public peuvent y publier un lien visuel (modestement payant) vers leur propre site, là où nous décrivons un lieu qui les concerne. Par exemple : sur la page consacrée à la rue Au Pèrî à B-4000 Liège, nous avons inséré un pavé d’annonce vers… wallonica.org.
Dans l’intervalle, plusieurs d’entre vous ont déjà manifesté leur enthousiasme, touchés qu’ils semblent être par une poésie naturelle, discrète mais énorme : un peu comme une Ourse qui passerait dans votre jardin… Par discrétion, les messages ci-dessous sont anonymisés, ce qui ne les rend pas moins émouvants pour nous : merci de vos retours, ils nous invitent à continuer…
Bonjour, Je me permets de vous écrire car j’ai découvert sur votre site le poème « When Death Comes » de Mary Oliver, et il m’a profondément touché, surtout après la perte d’un ami proche il y a un an. Ce texte a résonné en moi d’une manière que je ne saurais décrire, et j’aimerais beaucoup découvrir le reste des œuvres de Mary Oliver, traduites en français par Patrick Thonart dans le recueil intitulé « Une ourse dans le jardin.« En tant qu’enseignant en phonologie anglaise à l’université de […], j’aime explorer avec mes étudiants les rythmes et intonations des langues à travers la poésie. Je crois qu’il est essentiel de les amener à réfléchir sur des aspects de la langue qui sont souvent négligés, comme la prosodie, l’esthétique et la diversité des langues. La traduction que vous proposez sur votre site m’a donné envie d’aller plus loin et d’utiliser ces poèmes pour enrichir mes cours et encourager cette réflexion. Je serais vraiment reconnaissant si vous pouviez me faire parvenir le recueil « Une ourse dans le jardin« . C’est un projet qui me tient à cœur, tant pour mon propre plaisir que pour offrir à mes étudiants une nouvelle perspective sur la langue. Merci beaucoup pour votre temps et pour le travail que vous faites. J’attends votre réponse avec impatience ! Bien à vous,
Mary Oliver, tu me la fais découvrir, et c’est très beau aussi et apparemment pas encore traduit en français.
Wat een prachtig werk heb je gemaakt van Mary Oliver. Ik werk nu aan een nieuwe internationale bloemlezing van poëzie, voor Amnesty. Ik heb vooralsnog drie gedichten van Oliver geselecteerd. Maar zo mooi als bij jou, met de kunst van […] erbij, wordt het natuurlijk nooit. Ga je het ook een keer uitgeven, denk je? In elk geval, als je ooit plannen hebt voor verdere verspreiding en je denkt dat er Nederlandse vertalingen bij zouden kunnen, laat het me weten.
J’aimerais beaucoup acheter le livre : Une ourse dans le Jardin qui est une traduction de poemes de Mary Oliver. Je l’ai cherché en librairie mais je comprends que je dois faire directement le lien avec vous. J’habite Montréal, au Canada. Est-ce possible?
Je souhaitais vous remercier pour les traductions que vous avez faites des poèmes de Mary Oliver. J’adore Mary Oliver, j’ai les 2 volumes New and Selected Poems en anglais (achetés dans la magnifique Shakespeare Library à Paris, vous la connaissez ?). N’étant pas très douée en anglais, ce n’est pas facile, mais je les lis et j’en traduis aussi de temps en temps. Et surtout je cherche sur internet des personnes qui l’ont traduite, imaginez un peu ma joie d’en trouver 25 d’un coup ! Quand je lis Mary Oliver je respire plus calmement et m’apaise. Alors MERCI ! J’espère qu’un jour on trouvera dans nos librairies un livre de traductions. Cordialement,
Je bundel voor […] is een echo van troostende schoonheid en vitaal droombeeld. Een perfecte combinatie. Zeer geslaagde vertalingen. Ik heb nog maar een tiental gedichten gelezen want ik wil het langzaam doen.
J’ai aimé aussi ta traduction du poème de Mary Oliver la semaine dernière, mais me demandais si ‘hors de l’eau‘ est nécessaire (‘les poissons bondissent‘), et aux deux derniers vers je ne mettrais pas d’article (‘Calme‘, ou ‘Sérénité‘) ni ‘d’entrée‘, même si je vois bien que c’est ‘into‘.
Bonjour je cherche des poèmes de Mary Oliver en français. Merci de m’orienter.
J’aurais souhaité savoir si le recueil de poésies de Mary Oliver « Une Ourse dans le jardin » était éventuellement disponible ? Et si oui, comment puis-je faire pour me le procurer ? En vous remerciant d’avance. Bien à vous.
[…]
Merci pour votre retour rapide ! Oui je me suis mal exprimée, j’avais en effet compris que c’était un recueil de traductions de votre fait, et non pas un recueil qu’aurait publié Mary Oliver… Oui je serai très heureuse de pouvoir en recevoir une copie PDF, à la seule condition que votre épouse n’y voit aucun inconvénient puisque ce recueil lui était initialement destiné ! Je comprendrai si tel n’était pas le cas. Je ne connais malheureusement pas d’éditeur dans l’immédiat, mais vais tâcher d’y réfléchir et ne manquerai pas de revenir vers vous si une idée me vient en tête 😉 Soyez en tout cas vivement remercié pour votre travail, et votre geste, j’en suis très honorée ! Bien à vous,
Je souhaiterais connaître les modalités pour obtenir le recueil traduit par vos soins des poèmes de Mary Oliver. Merci pour votre attention.
Encore merci de votre partage et de ce précieux travail que vous faites.
Bonjour, Je suis chargée de l’accueil et de la librairie du Centre d’art et du paysage de l’île de ***, en France. Je vous contacte car je suis intéressée par l’édition privée d’Une ourse dans le jardin, de Mary Oliver. En effet, nous accueillons, fin juin 2025, l’artiste néo zélandais Zac Langdon Pole qui souhaitait que nous vendions Devotions. Les visiteurs du centre d’art étant à 98% français, nous aimerions disposer d’une édition française de poèmes de Mary Oliver. Cette édition privée existe-t-elle toujours ? Si oui, pourriez vous…
Bonjour, je souhaiterais acquérir le recueil Une Ourse dans le jardin – Poèmes de Mary Oliver (recueil, trad. Patrick Thonart, 2023). Est-ce encore possible ? Je vous remercie
Bonjour, Je voulais simplement remercier Patrick Thonart pour ses merveilleuses traductions des poèmes de Mary Oliver. C’est une grande tristesse de savoir que ses recueils n’ont pas encore été traduits et publiés en français. Je lis sa poésie en anglais depuis des années, et je cherchais une ressource qui me permettrait de partager la poésie de Mary Oliver avec des francophones. C’est chose faite grâce à vous ! Je pense à quelques maisons d’éditions françaises (je vis en France) qui pourraient être interessées par le fait de traduire certains de ses recueils, sait-on jamais… Avez-vous déjà essayé de trouver un éditeur qui veuille faire traduire et publier ses livres ? J’imagine que oui, mais si je peux aider à envoyer des emails à quelques contacts, j’en serai ravie. Quoi qu’il en soit, merci infiniment de mettre à disposition cette merveilleuse poésie à la disposition des lecteurs francophones…
Bonjour Patrick ! J’anime un Midi de la Poésie pendant le Printemps des poètes en France. Le 7 mars. J’aimerais présenter le travail de Mary Oliver que je connais bien en anglais. Et je comprends que vous avez fait des traductions de certaines de ces poèmes. Serait-il possible de les partager avec moi ?
Mary Oliver à Jezeaux, le 7 mars 2025
Cher Patrick, Vos traductions ont été un grand succès ! J’ai lu les poèmes en anglais, et puis en français pour chaque table de l’assemblée. Pas tout, évidemment, mais certains. Les gens ont beaucoup apprécié le travail que vous avez fait, et sont partis avec votre nom, le site wallonica.org, pour en lire plus. Et mes compatriotes sont allés voir le site aussi, et trouvait cela superbe. Donc bravo ! et merci !
Bonjour, j’ai découvert hier le nom de Mary Oliver, et j’ai parcouru tardivement hier soir de nombreuses pages… alimentant ma joie, mon émerveillement ; quel bonheur de la lire ! Malheureusement mon anglais n’est pas fluide, et je dois passer par la traduction ; et puis, je suis tombée sur vous, qui mentionniez l’existence d’un recueil traduit disponible sur demande. Alors me voici 🙂 Je vais poursuivre également les recherches de mon côté, peut-être – depuis 2023 – cet ouvrage a-t-il été édité. J’ouvre comme toujours plusieurs pistes pour doubler mes chances…
J’aimerais savoir si l’anthologie consacrée à Mary Oliver est un livre de papier ou s’il est virtuel ? Dans quelles conditions l’obtenir (coût, frais d’envoi pour la France…) ? Merci pour vos belles propositions de lectures […] Avant de lire puis de commenter (si j’ose), permettez-moi de vous adresser mes remerciements et mes compliments, à votre épouse [l’illustratrice] comme à vous-même. La surprise de votre réponse est un de ces petits bonheurs qui efface les tracas que l’on traîne parfois un peu trop. Au plaisir donc de partager avec vous quelques émotions et dans l’attente d’une publication prochaine, j’en suis convaincu.
Sans le savoir, vous faites partie d’une communauté ouverte, celle des utilisateurs de wallonica.org. Un grand nombre d’entre vous sont déjà abonnés à notre infolettre hebdomadaire : chaque dimanche à 16:00, un courriel sans pub mais avec des extraits des cinq derniers parus de la semaine écoulée. Partant, nous sommes curieux d’avoir votre avis et de mettre en œuvre ce qui est nécessaire, soit pour faire la fête après un commentaire élogieux que vous pouvez déposer ici via notre formulaire, soit pour améliorer notre travail, en fonction de vos recommandations.
En termes de Livre d’Or, depuis l’an 2000, qu’il s’agisse de l’Encyclopédie de l’Agora, notre marraine québécoise, ou d’avatars intermédiaires comme walloniebruxelles.org (oui, c’était nous aussi…), les commentaires ont été nombreux, à propos de l’urgence de partager et de débattre des savoirs en général, ou à propos de la qualité du travail accompli en particulier. Ainsi, le regretté Michel SERRES qui disait de l’Agora que c’était « un modèle » et nos collègues de la Bibliothèque Nationale de France (BnF) qui l’avaient ajoutée à leurs ‘signets’. Quant à wallonica.org, l’équipe se passe en boucle vos commentaires de Généreux Internautes Curieux (les GIC ?) :
Chaque dimanche à seize heures,
Un rayon de bonheur,
L’ordinateur s’illumine,
D’informations, une mine,
Source d’infos-vitamine !
Quel bonheur !! La navigation sur ce site est tout simplement “humaine”. La progression est libre et respectueuse du visiteur. Quelle découverte !!! Quel bonheur avec tellement d’informations fraîches et pertinentes. C’est beau, c’est clair, c’est rassasiant. Merci de nous réconcilier avec l’Encyclopédie avec autant de plaisirs… un régal.
wallonica.org est un piège mortel. Le genre de lieu où l’on sait quand on y entre, mais pas quand on en sort ! Pire qu’un dico, et rien à voir avec Wikipedia, où tu as ton info, clic-clac-emballez-c’est-pesé (parfois mal, mais l’erreur est humaine).
C’est vrai que le logo est magnifique ! Félicitations à votre graphiste !
« Utilité de l’inutile… » : quelle belle page de philosophie. Un bel article qui, je l’espère, sera lu par GLB ! Merci pour ce beau moment de réflexion et de sagesse…
Very good info. Lucky me I discovered your blog by chance (stumbleupon). I have book-marked it for later!
J’avais postposé quelque peu la lecture de votre ‘dernier paru’ consacré au développement personnel. M’étant levé aux aurores, je viens de m’y consacrer tout à mon aise et j’ai bien fait. J’ai d’abord beaucoup ri. Et puis, j’aime beaucoup la manière détachée d’aborder les choses graves et d’émailler votre propos -fort bien construit pas ailleurs- d’expressions familières, idiomatiques voire absurdes (silly, isn’t it ?) ce qui est évidemment une marque de fabrique depuis toujours.
En quelques instants de lecture, je vous ai retrouvés tout entiers, avec des feintes à deux balles (pan-pan) avec un tropisme affirmé pour le beau, avec la liqueur du Suédois, avec Spa, avec la dinde au whisky, avec Yves Teicher et Madame Chapeau (Amélie Van Beneden, les crapuleux de sa strootje et Jefke, pauvre Jefke), avec Frank Capra, la charmille de Haut Regard, avec le maire de Champignac (« là où la main de l’Homme n’a encore jamais posé le pied »), la sardine à l’huile (et donc l’huile de ricin), etc. J’ai évidemment ‘surkiffé sa race, wesh’. Bien sûr, je me suis goinfré des consignes et des exercices pratiques. Je me vais d’ailleurs trouver illico deux bouteilles de Chablis et Stars Wars 4-5-6 pour ce soir (ma femme aime bien le Chablis !).
Tout ça pour dire que cette encyclo.pédie.thèque (biffer rageusement la mention inutile) devient de plus en plus ce que vous vouliez qu’elle devienne et que je veux vous en féliciter fort chaleureusement. Voilà donc sans doute un chef-d’oeuvre à jamais inachevé.
Une fois de plus intéressant ! Merci
Daar is ie weer, klokslag 4. Met alweer een mooie vertaling van Mary Oliver en een interessant filosofisch stuk over Bouchez…
Bravo pour cette généreuse floraison d’intelligentes nourritures. Quel travail là-dessous ! […] c’est une très belle entreprise. Bravo !
Hi to all, how is everything, I think every one is getting more from this website, and your views are nice in favor of new visitors.
Un parcours rapide des articles, comme chaque semaine… et au moins un article lu et qui m’interpelle comme chaque semaine… cette fois, le compte-rendu de la conférence de Patrick. Diel revient souvent dans les références, dirait-on. Belle plume aussi. Mon profil universitaire scolaire avait été perturbé par l’approche atypique de l’encyclopédie, un bouleversement de mes repères puis j’ai appris à me décoincer et à changer de paradigme. Maintenant, çà va 😉
Merci pour cette dose de découvertes hebdomadaires !
Je serai une (re)lectrice assidue de ton « Etre à sa place » dont je lis, en attendant, les extraits au fur et à mesure et avec avidité, tant cela me parle. C’est juste limpide à mes yeux. As-tu une idée de la chronologie de tes textes à venir, (si je puis dire) de ton chapitre ultime et donc de l’édition qui suivra dans la foulée ? Par ailleurs, je continue de « chercher » chaque dimanche l’article qui me parle dans ta newsletter. Il est rare que je ne sois pas satisfaite…
Ja, er zijn stukken in wallonica die fantastisch zijn. Magnifiek !
Internet m’a fait un clin d’oeil tout à l’heure, lorsque j’ai lancé une recherche sur une fresque présente à l’Académie des Beaux-Arts et que le premier lien lien qui est sorti dans Google a été wallonica. Bravo !
Et comme à chaque fois, je cherche et je trouve l’article qui m’interpellera dans la newsletter dominicale… Cette fois, le 1er article proposé, dense mais limpide et réflexif qui me fait relire en parallèle sur le syndrôme de l’imposteur dans lequel je me reconnais, à mes heures. Merci encore pour ces multiples arborescences qui nourrissent ma réflexion, m’ouvrent à de nouveaux concepts ou à la découverte de nouveaux auteurs.
Quelle belle newsletter !
Wallonica est surprenante et permet de papillonner et de s’arrêter selon nos intérêts, dans un dédale fait de divers chemins qu’on emprunte ou non et de manière infinie. L’approche est libre et j’ignorais même que ce genre d’encyclopédie existait ! C’est intéressant et interpellant au regard d’une lecture purement universitaire classique souvent privilégiée dans un contexte encyclopédique, avec ses besoins de mettre dans des cases, des chronologies, des classements scolaires formatés selon une grille d’analyse « scientifique », lisse et exprimée dans une langue souvent trop froide. Une bouffée d’oxygène…
A l’accueil de notre blog encyclo s’affichent des vignettes cliquables vers les derniers articles parus. Notre blog encyclopédique wallon, c’est bien la partie rédactionnelle, voire journalistique de wallonica, à ne pas confondre avec le centre de ressourcesdocumenta.wallonica.org qui lui est adjoint et qui propose des objets numériques à télécharger (livres, images, sons…), avec le topoguide.wallonica.org ou la boutique.wallonica.org. Au sommet de chaque page, vous trouverez toujours les menus suivants :
Avant de naviguer dans les articles de l’encyclo, vous pouvez d’abord découvrir notre sélection (100 % subjective) des 666 contenus que nous avons jugésINCONTOURNABLES :
Savoir-citer : piochez dans les citations, les florilèges de tirades, les poèmes, les extraits de romans ou les passages d’autres grands ouvrages…
Savoir-contempler : rien que pour vos yeux, des reproductions d’œuvres visuelles pas toujours célèbres, des photos, des tableaux, des dessins ou des gravures…
Savoir-documenter : créer des références est un art ; dictionnaires, recueils, anthologies, répertoires et listes, nous leur rendons hommage…
Savoir-écouter : après les yeux, les oreilles ; nous avons concentré ici des extraits musicaux ou sonores marquants, qui donnent envie d’en écouter plus…
Savoir-lire : savoir citer un extrait ne suffit plus, c’est le livre entier qu’il vous revient de découvrir ; pour la fiche de lecture, c’est par ici…
Savoir-regarder : on se fait une toile ? Il y a des films pour lesquels il y a un avant et un après. Ces pages vous proposent des liens vers les bandes-annonces qui nous ont convaincus…
Savoir-vivre-au-quotidien : nettoyer une tache d’urine de chat sur du cuir, connaître les éphémérides, consulter l’almanach de Mathieu Laensbergh, c’est du quotidien que nous avons épinglé ici…
L’ENCYCLOPEDIE WALLONICA est au cœur de notre travail. C’est pour découvrir ses articles que vous lisez ceci. Et, pour votre plus grand bonheur, nous les avons catégorisés autrement, au départ d’une question : que fait l’Honnête Homme quand il s’adresse au monde ? Cliquez curieux :
Les ACTIONS de ceux et celles qui, simplement, exercent leur puissance d’être humain (aimer, boire, discuter, expérimenter, faire du sport, manger, s’amuser, s’engager…) ;
Les ARTEFACTS par lesquels les plus créatifs d’entre nous s’efforcent de donner une image du monde (architecture, arts de la scène, arts des médias, arts visuels, bande dessinée, cinéma, littérature, musique, sculpture…) ;
Les CONTRATS sociaux et politiques grâce auxquels le vivre-ensemble devient possible… ou non ;
Les DISCOURS élaborés par les uns pour modéliser le monde aux yeux des autres (sciences, religions et autres explications…) ;
Les DISPOSITIFS développés par les techniciens pour être utiles à l’homme confronté à la matière (enjeux, systèmes, techniques, inventeurs…) ;
Les SYMBOLES qui dénotent l’ordre du monde au travers d’images et d’archétypes partagés ;
Et le MONDE comme il va, là où la main de l’homme n’a jamais mis le pied (la vie et l’environnement, terre et univers, la matière, l’écoumène, les curiosa…).
D’entrée de jeu, les différents services de notre KIOSQUE ont pour vocation de drainer leurs visiteurs vers les contenus de l’encyclopédie, à savoir :
un AGENDA d’événements culturels et d’intérêt public ;
une vraie TRIBUNE LIBRE composée de cartes blanches internes ou invitées ;
un répertoire des MAGAZINES préférés, ceux que nous épluchons pour vous ;
…VOUS ABONNER et recevoir chaque semaine notre unique infolettre qui vous annonce les derniers parus de la semaine écoulée ;
…FAIRE UN DON et soutenir notre travail au quotidien, via votre carte de crédit, PayPal, un virement ou en déposant un lingot d’or devant nos bureaux ;
…VOUS CONNECTER à une de nos interfaces d’édition, si vous êtes membre d’une Maison Jaucourt ;
…NOUS CONTACTER parce que vous avez une question, une proposition ou quelque chose de gentil à nous dire…
Notre kiosque ne serait pas complet sans vous proposer la liste des sources en ligne qui nous intriguent, nous émeuvent, nous font douter, réfléchir et débattre. Fidèles à nos bonnes pratiques de veille, nous épluchons les publications de la presse, des sites institutionnels comme celles des blogs thématiques de qualité. Découvrez-les ci-dessous : certains sont nos partenaires et nous publions des contenus en commun, d’autres ne le sont pas encore et vous les retrouverez dans notre Revue de presse, en exclusivité mondiale comme toujours ! Vous affectionnez un blog, un site bien documenté, un e-zine, un magazine en ligne, une chaîne radio ou tv, vous pensez qu’il a sa place sur wallonica.org ? Dites-le nous !
Dans notre archipel de savoirs, la liste des gisements d’information s’allongera au fil des rencontres et des découvertes : nous cartographierons ces îles pas désertes en ajoutant ici des liens vers chaque (res)source. Avec nous, cliquez curieux !
« Parler d’un média, presse magazine, ne va pas sans poser un premier problème qui est celui de son identification. La notion de magazine n’apparaît, en effet, que progressivement dans l’histoire de la presse […] Elle intervient, essentiellement à partir des années 1930, au croisement de plusieurs caractéristiques : une périodicité plus grande, une qualité d’impression sur beau papier avec une mise en page soignée, une place importante du visuel et principalement la photographie, un contenu spécialisé s’adressant à chaque fois à une catégorie particulière de public. Il n’en demeure pas moins que la notion de presse magazine reste très hétérogène. Quoi de commun entre un news magazine, tel que L’Express ou Le Nouvel Observateur et un titre pour les tous petits comme Popi ou Picoti, sans parler de titres à « pôles d’intérêt » comme Auto Verte ou Sciences et Vie ? Il faut donc se résoudre à proposer une définition pragmatique : sera considéré ici comme presse magazine toute publication périodique, s’adressant au grand public, respectant un ratio entre contenu éditorial et publicité, donnant la primeur à l’éditorial, illustrée et imprimée sur un papier de qualité, vendue en kiosque ou par abonnement. » [CAIRN.INFO]
Le blog des Lettres belges francophones : « Le Carnet et les Instants est une revue publiée par la Direction des Lettres du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Ce service, basé à Bruxelles et dépendant de l’Administration générale de la Culture, a pour missions l’aide à la création, à l’édition et à la diffusion de la littérature francophone de Belgique et le soutien aux différents acteurs de la chaîne du livre. Le Carnet et les Instants cherche à faire découvrir les Lettres belges au grand public, en Belgique et à l’étranger. La revue se décline sur deux médias :
une revue explorant de manière approfondie la création littéraire et l’édition en Belgique francophone ;
un blog, consacré à l’actualité des parutions en littérature belge… »
HISTOIRE & SYMBOLES : “Espace ouvert au peuplement très ancien au cœur de l’Europe, marche septentrionale de la latinité aux portes du monde germanique et carrefour des influences à travers les siècles, la Wallonie est le produit d’une histoire longue et mouvementée.” | CULTURE & PATRIMOINE : “La Wallonie est une terre de patrimoine et de culture. Ses sites et édifices remarquables impressionnent ou émeuvent, témoignant d’une histoire riche et mouvementée, ouverte aux influences multiples. Celles-ci se retrouvent dans la création artistique de Wallonie, une création sans frontière à laquelle les Wallons ont apporté leur contribution, parfois pionnière, à toutes les époques. Des “vieilles pierres” à la gastronomie, des lieux de mémoire à la littérature, en passant par toutes les facettes de la culture et du folklore, cette partie du site vous offre maints itinéraires pour découvrir une Wallonie active et créative dont on n’a jamais fait le tour.” | WALLONS MARQUANTS : “John Cockerill, François Bovesse, Adolphe Sax, Jean-Pierre et Luc Dardenne. Terre de talents à la croisée des mondes latin et germanique, la Wallonie a engendré ou accueilli de très nombreuses personnalités qui ont laissé une trace dans l’Histoire. Retrouvez dans cette rubrique les biographies de ces très nombreux Wallons qui ont marqué leur époque. Découvrez également les personnes remarquables décorées du Mérite wallon.” | GÉOGRAPHIE : “La Wallonie est un espace de forme triangulaire de 16 901,4 km², mesurant près de 200 km d’Ouest en Est et 140 km du Nord au Sud. Elle est bordée par la France (Ouest et Sud), le Grand-Duché de Luxembourg (Est), l’Allemagne (Est), les Pays-Bas (Nord) et la Flandre (Nord).”
Des trésors d’informations précises et rares, hélas bien enfouis dans un ensemble de bases de données distinctes, heureusement bien ratissé par un moteur de recherche. C’est bien dommage : peu de Wallons et de Bruxellois connaissent “Connaître la Wallonie“, une compilation un peu administrative de joyaux de documentation, comme la très complète “Encyclopédie du Mouvement Wallon.” A visiter !
“Lancé en 2015, The Conversation France est un média généraliste en ligne qui fédère, sous la forme d’une association à but non lucratif, les établissements d’enseignement supérieur et de recherche francophones. Issu d’une étroite collaboration entre journalistes, universitaires et chercheurs, il propose d’éclairer le débat public grâce à des analyses indépendantes sur des sujets d’actualité. Notre objectif est d’offrir a un large public une autre forme de journalisme, un contenu éditorial de qualité, fondé sur l’analyse et la mise en perspective.”
wallonica.org a hébergé la première version en ligne de la revue Cosmopolis et son rédacteur en chef, Paul Ghils, reste un partenaire privilégié de nos publications. Cliquez sur l’image pour afficher le site…
“Classiquement conçue à l’horizon d’une humanité régie par des valeurs universelles au sein d’un ordre juridique et politique cohérent, l’idée cosmopolitique se présente aujourd’hui, sous la pression des transformations sociales, politiques et écologiques de la Planète, comme un impératif pratique qui conditionne la survie de l’humanité. Loin du mythe des Anciens, elle se conçoit comme la construction d’un espace public mondial à l’horizon d’un ordonnancement complexe et pluriel, qui concilie la communauté de destin de l’humanité et la diversité des cultures, des sociétés et des États. Le complexe humain se doit dans ce but de confronter les modèles sociaux, politiques et culturels qui prétendent à la légitimité universelle…”
Le meilleur de la presse flamande en français. “Daar signifie là-bas en néerlandais. Là-bas, au sens de : “de l’autre côté de la frontière linguistique”. DaarDaar est un projet médiatique citoyen, porté à bout de bras par une équipe de bénévoles désireux d’apporter des solutions aux problèmes d’inter-compréhension que connait notre pays. Notre initiative part d’un double constat : Le premier est qu’il n’existait pas, au moment de notre création, d’espace de débat belge qui transcende la frontière linguistique. Si cette lacune n’empêche pas que des Flamands soient invités dans les médias francophones (et vice-versa), ils le sont alors le plus souvent comme représentants de leur communauté. Surtout, les débats qui animent une communauté ne franchissent que rarement la frontière linguistique. Le second constat concerne la méconnaissance du néerlandais, ainsi que de la Flandre dans sa diversité et dans ses différentes dimensions (médiatiques, économiques, culturelles) par le public francophone. La vision offerte par les médias francophone est trop souvent concentrée sur les questions, ou les querelles, communautaires avec une approche superficielle et uniforme trop souvent centrée sur les aspects purement politiques.
Comment fonctionne DaarDaar ? Lancé en 2015, DaarDaar se propose de traduire et de publier des éditoriaux et des articles d’actualité parus dans la presse flamande et belge germanophone, afin de les rendre accessibles aux lecteurs francophones.”
Le magazine qui met l’accent sur la culture. “Diacritik. Le magazine dont le titre souligne l’ambition : mettre l’accent sur la culture. La culture dans toute sa gamme, de la plus populaire à la plus pointue […] Parmi les signatures dont notre journal s’honore, celle de Jacques Dubois, sociologue et critique littéraire, spécialiste de Simenon, des romanciers du réel, de Proust et tant d’autres. Comment mieux fêter ce troisième anniversaire qu’à travers un entretien avec lui, compagnon de la première heure de ce journal, défenseur d’une critique amoureuse et engagée ? L’une des phrases que Jacques Dubois prononce au cours de notre conversation pourrait d’ailleurs être le sous-titre de Diacritik : “Pour réconcilier le monde avec lui-même, il faut beaucoup s’en moquer”…”
Imagine, c’est un magazine belge, bimestriel et alternatif, qui traite des questions d’écologie, de société et de relations Nord-Sud. Il est édité par une nouvelle coopérative, indépendante de tout groupe de presse et de tout parti politique, et géré par l’équipe qui le réalise. Imagine s’inscrit dans le courant slow press et défend un journalisme d’impact, au long cours, à la fois vivant et critique, apaisé et constructif. Tous les deux mois, il recherche la qualité plutôt que la quantité. Il ralentit pour offrir à ses lecteurs une information originale, fiable et nuancée. Quelles sont les missions que l’équipe d’Imagine se donne au sein d’Imagine Coop ? Les voici :
Produire de l’information de qualité, inspirante et critique, libre et non-conformiste en adéquation avec le Manifeste Imagine et via trois canaux de diffusion : un magazine papier, un média digital et les réseaux sociaux.
Offrir des services à la collectivité (écoles, associations, collectifs, opérateurs culturels, secteur de l’économie sociale…) en matière d’accompagnement pédagogique et de formations, d’animations et de productions graphiques et de contenus.
Fédérer autour du magazine les acteurs et les actrices de changement et aider nos lecteurs et nos lectrices à passer à l’action.
“Les Grenades sont lancées aujourd’hui, à qui s’adresse cette nouvelle info ? Safia Kessas : Ce projet s’adresse à toutes les personnes qui se sentent concernées de près de ou de loin par les questions de genre. Cela s’adresse à tout le monde. On se rend compte que le public est de plus en plus sensible à ce genre de contenu. Depuis #Meetoo, les articles dédiés à ces questions sont en augmentation nette. Quels sont les axes qui seront développés par Les Grenades ? S.K. : Tout type d’info qui touche au genre. Il n’y aura pas d’exclusive. Le but est de mettre en évidence des profils d’expertes, des métiers invisibilisés, féminisés, souvent moins bien rémunérés, de la culture aussi. Je trouve que les femmes autrices ne sont pas assez représentées. Chez nous, dans les médias mainstream, le dernier livre de Mona Chollet est passé un peu sous le radar (« Sorcières »), je trouve que ce qu’elle dit est tellement pertinent sur la place des femmes dans la société. Cela fait réfléchir autrement. Ce qui nous intéresse aussi, ce sont des expériences particulières. Nous aurons le récit d’une jeune femme partie à vélo de Namur à Tokyo. Dans certains pays, il est très compliqué de rouler à vélo pour des femmes. On aura un récit toutes les semaines. Ce sera différent.”
Liège hip-hop and more… Quatremille, c’est un magazine, un site web et des événements tout au long de l’année. Un média culturel interactif et innovant dédié à la culture et aux divertissements proches de la culture, à Liège et en région liégeoise… quatremille.be est un partenaire de wallonica.org.
“La question de la philosophie, c’est la question du présent qui est nous-mêmes.” C’est avec cette citation de Michel Foucault que s’ouvrait, en mars 2006, l’éditorial du n° 1 de Philosophie magazine – un magazine indépendant, unique en son genre, qui se donne pour ambition de penser l’actualité et le monde grâce à la philosophie, selon ses deux fondateurs, Fabrice Gerschel, éditeur et principal actionnaire de la société éditrice, et Alexandre Lacroix, rédacteur en chef. Mêlant débats, dialogues, décryptages et chroniques, le magazine s’est installé dans le paysage médiatique. Il s’est aussi développé : en éditant des hors-série, en franchissant le Rhin pour créer à Berlin en 2011 le Philosophie Magazin allemand, en fondant une maison d’édition, et, enfin, en créant en 2018 un nouveau média, purement en ligne, sur le monde du travail, Philonomist et Philonomist Labs, qui propose d’amener la philosophie dans l’entreprise. Quant au magazine, malgré la crise de la presse, la fidélité des lecteurs au fil du temps lui a permis d’assurer son équilibre financier et de se développer en restant indépendant…”
Goûtant l’excellente tenue rédactionnelle de PHILOMAG.COM, nous accordons une première mention spéciale aux cahier centraux du magazine : en lien avec le thème du n°, l’éditeur du cahier central sélectionne les extraits pertinents d’une oeuvre philosophique et les publie dans un in-octavo détachable, constitué de trois parties : une introduction, une mini-biographie et le texte lui-même. Nous reproduisons régulièrement des fragments (avec un lien vers la source, bien entendu).
Dernière vertu du magazine, la page des philosophes qui, si elle n’est pas toujours pleinement documentée, est faite d’un index multiple (cliquable) et permet de découvrir les courants, les disciplines et les philosophes présents dans la publication.
Le média des transitions. “SOCIALTER se penche sur les idées nouvelles qui peinent à émerger dans le débat public. Loin des solutions toutes faites et des approches dogmatiques, avec une ligne qui questionne plus qu’elle n’impose, SOCIALTER entend repolitiser le débat avec une question en tête : comment faire évoluer la société vers plus de justice, plus de démocratie, dans le respect des équilibres écologiques ? Convaincu que les actions individuelles ne suffisent pas pour changer radicalement de société, SOCIALTER met le collectif au cœur de ses choix éditoriaux. Luttes, alternatives, expérimentations, actions exemplaires : SOCIALTER déniche des initiatives de terrain susceptibles d’inspirer les citoyens concernés…”
Enquêter – Réfléchir – S’organiser – Eprouver – Imaginer… “Terrestres est la chambre d’écho des livres, des pratiques et des idées qui redonnent des mondes et des écologies. à la politique, au social et à la culture Essais, recensions, fictions, poèmes et formes hybrides : nous accueillons les textes qui aujourd’hui animent les milieux universitaires autant que militants, les espaces publics autant que les expériences intimes, susceptibles de nous restituer la Terre qui nous manque…”
LE MÉDIA QUI EXPLORE LE FUTUR. “Né en 2010, Usbek & Rica est le média qui explore le futur. Il tire son nom des héros des Lettres persanes de Montesquieu. En 1721, le jeune philosophe imagine en effet le périple de deux Persans à travers l’Europe jusqu’à Paris. Usbek et Rica écrivent des lettres à leurs amis restés au pays. À travers le regard de ces deux personnages naïfs, étrangers et sans préjugés, Montesquieu pratique l’art de l’étonnement philosophique pour mieux exercer sa critique sociale. En plein siècle des Lumières, il s’en prend à la monarchie, à nos mœurs, à la religion. Ses avatars, Usbek et Rica, s’étonnent de tout.
Un peu à la manière de journalistes, ils tendent leur micro, ouvrent grand les yeux et les oreilles et retranscrivent ce qu’ils voient et entendent. Mais leur auteur n’en pense pas moins ! C’est la méthode à laquelle nous sommes attachés depuis la sortie de notre premier numéro : chroniquer, avec une naïveté feinte, les grands basculements de l’Histoire…”
Dans le cadre de notre réseau d’édition mutualisée, les Maisons Jaucourt, différents acteurs doivent intervenir là où ils sont installés, plus précisément, là où ils se connectent pour travailler sur notre projet à tous. Voici les différents accès aux interfaces d’identification : chacun pourra s’y rendre, encoder son identifiant et son mot de passe puis intervenir selon son statut, qu’il s’agisse de l’administrateur technique, de l’éditeur responsable, d’un auteur ou d’un contributeur…